(Rosario, province de Santa Fe, 1944 — ). Juan Carlos Martíni. Libraire, éditeur et journaliste à Buenos Aires et dans sa ville natale. En 1975, il s’exile à Barcelone et y réside jusqu’en 1984. Il dirige alors la collection « Novela Negra » des éditions Bruguera dont l'influence sera déterminante sur l'éclosion du roman policier espagnol de l'après-franquisme. Outre ses activités d’éditeur, il publie, de 1966 à 1975, plusieurs recueils de nouvelles (El último de los onas ; Pequeños cazadores ; La brigada celeste) et des romans (El agua en los pulmones, 1973 ; Los asesinos las prefieren rubias, 1974 ; Encerclé, 1977). En 1981, il signe La Vie entière, « récit magique et lugubre où il explore l'identité argentine à travers le destin d'une ville égarée dans la plaine ». En 1984, il donne Composición de lugar, qui marque le début du cycle Juan Minelli. À ce jour, il a publié quatre recueils de nouvelles et une dizaine de romans.
(Rosario, province de Santa Fe, 1944 — ). Juan Carlos Martíni. Libraire, éditeur et journaliste à Buenos Aires et dans sa ville natale. En 1975, il s’exile à Barcelone et y réside jusqu’en 1984. Il dirige alors la collection « Novela Negra » des éditions Bruguera dont l'influence sera déterminante sur l'éclosion du roman policier espagnol de l'après-franquisme. Outre ses activités d’éditeur, il publie, de 1966 à 1975, plusieurs recueils de nouvelles (El último de los onas ; Pequeños cazadores ; La brigada celeste) et des romans (El agua en los pulmones, 1973 ; Los asesinos las prefieren rubias, 1974 ; Encerclé, 1977). En 1981, il signe La Vie entière, « récit magique et lugubre où il explore l'identité argentine à travers le destin d'une ville égarée dans la plaine ». En 1984, il donne Composición de lugar, qui marque le début du cycle Juan Minelli. À ce jour, il a publié quatre recueils de nouvelles et une dizaine de romans. |
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