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Carlos Hugo Aparicio


Carlos Hugo Aparicio
 

 
 
Né en 1935 à La Quiaca à la frontière bolivienne, Carlos Hugo Aparicio réside depuis l’âge de douze ans dans la ville de Salta. À partir de 1965, il a publié des recueils de poèmes, des contes et un roman, qui ont reçu de nombreux prix régionaux et nationaux. Il est membre de l’Académie argentine des Lettres depuis 1996.



Par larouge • Aparicio Carlos Hugo • Vendredi 19/02/2010 • 0 commentaires  • Lu 1577 fois • Version imprimable

Trains du Sud


Trains du Sud
Carlos Hugo Aparicio




 

Broché:
510 pages
Editeur :
Theles (21 janvier 2010)


Trains du sud, considéré comme l un des romans les plus remarquables de la littérature argentine contemporaine, a reçu le second Prix national du Roman à Buenos Aires en 1992. Texte d initiation, il reconstruit à travers toutes les émotions d un enfant sa vie dans une localité andine du nord-ouest argentin, jusqu au jour de son douloureux déracinement, imposé par l espoir paternel d un avenir meilleur. Porteurs de ses rêves, les trains du sud venus de la mythique Buenos Aires le ramèneront vieilli par vingt ans de privations, retrouver pour deux jours le monde inoubliable qui fait partie de son identité et qui n est plus. Le roman a pour autre protagoniste le tango qui, dès l enfance, a bercé le personnage comme son auteur. Né en 1935 à La Quiaca à la frontière bolivienne, Carlos Hugo Aparicio réside depuis l âge de douze ans dans la ville de Salta. À partir de 1965, il a publié des recueils de poèmes, des contes et un roman, qui ont reçu de nombreux prix régionaux et nationaux. Il est membre de l Académie argentine des Lettres depuis 1996. Professeur d espagnol, Geneviève Despinoy a voyagé pour la première fois en Argentine en 1987, découverte passionnante qui l engage à y revenir régulièrement. Titulaire d un doctorat d études latino-américaines sur la littérature argentine des provinces, elle a étudié tout spécialement l uvre de Carlos Hugo Aparicio. Par sa traduction du roman Trains du sud, elle espère faire partager au public français le plaisir de sa lecture.

Professeur d’espagnol, Geneviève Despinoy a voyagé pour la première fois en Argentine en 1987, découverte passionnante qui l’engage à y  revenir régulièrement. Titulaire d’un doctorat d’études latino-américaines sur la littérature argentine des provinces, elle a étudié tout spécialement l’œuvre de Carlos Hugo Aparicio. Par sa traduction du roman Trains du sud, elle espère faire partager au public français le plaisir de sa lecture.
 
 

Par larouge • Aparicio Carlos Hugo • Vendredi 19/02/2010 • 0 commentaires  • Lu 1627 fois • Version imprimable

à propos de "trains du sud"

Au cœur de l'âme andine

fête en bref

Geneviève Despinoy a traduit pour la première fois à l'étranger l'auteur argentin Carlos Hugo Aparicio./Photo Jean-Marc Ramel.
Geneviève Despinoy a traduit pour la première fois à l'étranger l'auteur argentin Carlos Hugo Aparicio./Photo Jean-Marc Ramel.
Geneviève Despinoy a traduit pour la première fois à l'étranger l'auteur argentin Carlos Hugo Aparicio./Photo Jean-Marc Ramel.

Une Agenaise, Geneviève Despinoy, qui fut professeur d'espagnol au lycée Bernard Palissy et à la faculté du Pin, est retournée presque chaque année en Argentine depuis 1987 pour pénétrer au plus près l'âme d'un pays qui ne peut se résumer qu'à sa capitale, Buenos-Aires, terre d'accueil d'exilés à la recherche d'un nouveau monde.

L'Argentine de Geneviève Despinoy se situe à dans une région contiguë avec la Bolivie, là où Carlos Hugo Aparacio est né en 1935 dans la province andine de Jujuy. Depuis l'âge de 12 ans, cet écrivain vit dans la ville de Salta, 500 000 habitants.

107 tangos battent la mesure

L'auteur de « Trains du Sud », a reçu le premier prix d'un concours régional en 1992. Se définissant comme l'écrivain de « l'émotion populaire », son œuvre, composée de poèmes, de nouvelles, de contes et d'un roman, est porté par une imagination fertile et une sensibilité à fleur de peau.

Une langue aux spécificités difficiles à traduire dans une autre langue aurait dû décourager Geneviève Despinoy. Sa passion pour cet écrivain l'a poussé à entreprendre un doctorat d'études latino -américaine sur la littérature argentine des provinces. Elle s'en est sortie avec les félicitations du jury.

Le pari était osé : comment retranscrire les rythmes, les sons, notamment des tangos, 107 très exactement, appris oralement à la maison par l'écrivain, qui portent « Trains du sud » ?

« Des collègues argentins m'avaient averti : c'est intraduisible ! » Après avoir frôlé la véritable identité argentine, pas celle de Buenos-aires, grâce au roman de Carlos Hugo Aparicio, l'Agenaise s'est mise à la tâche.

« Aucun dictionnaire n'était capable de dissiper mes doutes ». Jusqu'à ce qu'un ouvrage consacré à la langue populaire de Salta et à celle de Buenos-Aires soit publié.

Ces « Trains du sud », ceux qu'empruntent les familles à la recherche d'un meilleur sort, ponctuent le roman. Petit employé, Carlos Hugo Aparicio se revoit enfant, l'installation, dans une extrême précarité, dans des quartiers misérables. Un déraciné sauvé par l'écriture, traduit pour la première fois à l'étranger.


Par larouge • Aparicio Carlos Hugo • Dimanche 17/10/2010 • 0 commentaires  • Lu 1819 fois • Version imprimable

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