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Manuel Peyrou




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Manuel Peyrou

Manuel Peyrou se graduó en la Facultad de Derecho, de Buenos Aires en 1925, pero nunca ejerció la abogacía. Era hijo de Antonio Peyrou, abogado (que se recibió en la misma promoción de Macedonio Fernández y del padre de Adolfo Bioy Casares) y de Julia Olascoaga. Su abuelo fue el coronel Manuel José Olascoaga, uno de los organizadores de la Campaña del Desierto del general Roca, pintor, dramaturgo, topógrafo, militar, revolucionario y fundador de Chos Malal y primer gobernador del Neuquén. Peyrou era también sobrino-nieto de Bernardo de Irigoyen, prócer de la organización argentina.Durante su juventud trabajó en los ferrocarriles -entonces, ingleses- mientras, maduraba su vocación literaria. En 1935, con su cuento La noche incompleta, inició su colaboración en La Prensa, diario cuya redacción pasó a integrar poco después, primero como redactor y, luego, como editorialista e integrante del suplemento literario, función que cumplía al alcanzarlo la muerte.

Conoció a Jorge Luis Borges en la década de 1920. Fue uno de sus más íntimos amigos.Sus primeros libros fueron La espada dormida, cuentos policiales publicados en 1944, y la novela El estruendo de las rosas, también de índole policial, publicada en 1948. Fue Borges quien lo vinculó con Sur y le encargó la sección de crítica cinematográfica en Los Anales de Buenos Aires, revista que el autor de El Aleph dirigía y desde la que dio a conocer los primeros trabajos de escritores que, con el transcurrir del tiempo, llegaron a ser nombres significativos de nuestra historia literaria; uno de ellos: Julio Cortázar.

Mientras ejercía el periodismo, Peyrou siguió desarrollando una labor literaria merecedora de importantes reconocimientos. Su primer libro, La espada dormida, obtuvo un premio municipal; en 1953, publicó La noche repetida, cuentos; en 1957, Las leyes del juego, novela a la que se adjudicó el Tercer Premio Nacional; en 1959, El árbol de Judas, cuentos distinguidos con el premio Ricardo Rojas; en 1963, Acto y ceniza, novela; en 1966, Se vuelven contra nosotros, novela, Segundo Premio Municipal; en 1967, Marea de fervor, cuentos; y en 1969, El hijo rechazado, novela, Segundo Premio Nacional de Literatura. Peyrou obtuvo también la Medalla de Oro del Consejo del Escritor correspondiente al decenio 1951-1960 y el Primer Premio en el Certamen Nacional de Cuentos que realizó, en 1956, la Dirección General de Cultura por su cuento La desconocida.

El relato de detectives, especie literaria que cultivó durante su primera etapa de escritor, fue el género en el que produje excelentes páginas. Los cuentos policiales de Peyrou figuran en varias antologías argentinas y extranjeras. Entre las últimas, pueden citarse: Los más bellos cuentos del mundo, editada en Madrid por el Reader Digest, y la Antología de escritores argentinos, publicada en 1970, en Grecia, por Jorge Humuziadis. Asimismo, su novela El estruendo de las rosas fue traducida al inglés, editada por Herder and Herder, de los Estados Unidos, que también incluyó su cuento Julieta y el mago en una antología de cuentos hispanoamericanos.

Después de haber incursionado con éxito en el relato policial Manuel Peyrou enfrentó la difícil empresa de la narración psicológica y testimonial. Preocupado por la realidad política del país y por la decadencia de las costumbres, registró en sus novelas, sin ninguna complacencia, las formas negativas del devenir político argentino. Las leyes del juego, Acto y ceniza y El hijo rechazado son buenos ejemplos de dicha intención. Como con reminiscencias de Balzac, lo social y económico se destacan en las peripecias de sus criaturas. Es que Peyrou, después de haber practicado el juego de lo policial y lo fantástico, que lo aproximaba al orbe literario de Borges, se interesó por los conflictos de las psicologías sociales para abordar a través de ellos la novela de testimonio y denuncia.

Existe otro rasgo de su personalidad literaria -y también humana- que no es posible soslayar: su amor por Buenos Aires. Este admirador de la literatura inglesa gustaba describir en su obra cosas y hechos de esa ciudad, sobre todo la zona del centro, de la que era un permanente y encariñado caminador.

(nació en San Nicolás de los Arroyos el 23 de mayo de 1902 - murió en Buenos Aires el 1 de enero de 1974) fue un escritor argentino.)

source wikipedia

Par larouge • Peyrou Manuel • Mercredi 17/11/2010 • 0 commentaires  • Lu 1815 fois • Version imprimable

Le tumulte des roses

Le tumulte des roses
Manuel Peyrou , Gabriel Iaculli  
 







 

Broché: 247 pages
Editeur : Serpent à plumes (Le) (15 mai 2008) 
Collection : FICTIONS ETRANG 


 

Le Tumulte des roses a été publié en 1948 en Argentine et était totalement inédit en France. Satire policière, le roman se déroule dans un pays germanique en voie de développement régi par une dictature.
Felix Greitz et les membres de son « organisation secrète » luttent contre le régime de terreur de Cuno Gesenius. Felix croit assassiner le dictateur mais en réalité, il a tué son sosie. Le véritable « lider » a été tué la veille par quelqu'un d’autre. Peut-être un de ses amis ?
Félix est arrêté et conduit au commissariat où l’inspecteur Hans Buhle et le commissaire Helmuth Bostrom lui révèlent son erreur. Ces derniers lui proposent un marché : sa liberté contre le nom du meurtrier. Il accepte, ou fait mine d’accepter…
Dès lors, Félix est considéré par les membres de « l’organisation » comme un traître...
De flash-back en rapports policiers, on remonte le fil de cette fatidique journée de l’assassinat. Les policiers éliminent une à une les théories pour découvrir qui est le meurtrier de Gesenius.
Les invraisemblances s’accumulent alors, soulevant des doutes parmi les « révolutionnaires » : tous luttent contre la dictature, mais la mort de Cuno Gesenius ne semble pas avoir changé grand-chose et son successeur semble prêt à faire régner la même terreur. Un mystère qui ne sera dévoilé à demi-mot qu’à la dernière page…



Le Tumulte des roses n’est pas un simple roman noir mais une véritable poupée russe politique et policière qui met en scène une Europe de cocagne où règne l’anarchie. Le pouvoir et ses excès sont ici traités de façon remarquable. Par-dessus l’ombre du fascisme, l’auteur fait planer cette volonté de comprendre les ressorts d’une enquête dont le motif relève finalement presque du prétexte. Pas de morale apparente, pas de vérités proclamées. Juste une intrigue dont la clé semble nous échapper jusqu’aux dernières pages, dans laquelle la satire et l’incongru servent à démontrer les rouages d’un système dictatorial.

 


Par larouge • Peyrou Manuel • Mercredi 17/11/2010 • 0 commentaires  • Lu 1704 fois • Version imprimable

à propos de Le tumulte des roses


  Le Tumulte des roses

 

Le destin de Félix Greitz prend forme une matinée d'automne alors qu'un vent froid souffle sur la place principale. La nation attend d'être annexée par l'Union du Nord. Il guette, un bouquet de roses dans une main, une arme dans l'autre, l'apparition de Cuno Gesenius. Félix Greitz va tuer ce jour-là, mais celui qu'il va abattre n'est pas celui qu'il croyait... Tombe sous les balles du révolutionnaire le clone du dictateur, marionnette utilisée à des fins sécuritaires. Le meurtre de Félix plonge dans l'absurde et sa quête de liberté avec, quand il apprend par l'inspecteur Hans Buhle que le vrai Gesenius a été assassiné la veille, à son domicile. Mais qui a fait quoi... qui est qui ? Buhle trouvera-t-il un indice dans l'oeuvre de Félix Greitz, " Hamlet et le genre policier " ? Le lecteur lui y lira les pistes d'une réflexion aboutie sur le roman policier et ses avatars, dont Le Tumulte des roses est une merveilleuse parodie.
" Il en déduit qu'Hamlet est le récit dramatique d'une tentative de crime parfait, et il soutient, (...), que si un crime parfait est en 1940 celui dont le mystère demeure, il était en 1600 celui qui pouvait se justifier moralement. Le style de Félix Greitz est prétentieux. Je joins au dossier le chapitre en question. " L'Argentin Manuel Peyrou (1920-1974), dont c'est ici le premier livre traduit en français, a fait de l'incertitude une constante, mais une incertitude qui fait toujours mine de lever le voile sur la réalité. Un jeu de dupes où les protagonistes, le pouvoir comme l'organisation secrète - pas si secrète que cela - interprètent à la perfection leur rôle respectif, dans une ville mortifère qui se délite comme un vieux carton sous les assauts de la pluie et du vent. Le lecteur reste saisi par l'adresse et la virtuosité des dialogues décalés, la caricature d'un régime autocratique mise en scène par un maître de l'intrigue. de Manuel Peyrou
Traduit de l'espagnol (Argentine) par Gabriel Laculli
Le Serpent à plumes, 247 pages, 19 e

Le Tumulte des roses


source:www.lmda.net/din/tit_lmda.php

 


Par larouge • Peyrou Manuel • Mercredi 17/11/2010 • 0 commentaires  • Lu 1640 fois • Version imprimable

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