Quinzième poésie verticale : Edition bilingue
de Roberto Juarroz (Auteur), Jacques Ancet (Traduction)
de Roberto Juarroz (Auteur), Jacques Ancet (Traduction)
Broché: 89 pages
Editeur : José Corti (5 septembre 2002)
Collection : Ibériques
« Toute l’œuvre de Roberto Juarroz porte le même titre : Poésie Verticale, chaque tome étant simplement numéroté pour être distingué des autres. Titre unique suggérant abruptement la verticalité de la transcendance “bien entendu incodifiable”, précise-t-il dans un entretien. Aussi était-il un des rares poètes contemporains à défendre haut et fort une métapoésie par où passe l’infini “bien entendu sans nom”, une vision poétique proche de Novalis pour qui “la poésie est l’absolu réel”, mais témoignant aujourd’hui d’un nouveau sens du sacré “bien entendu sans théologie”. Pour Roberto Juarroz, il n’y a pas de haute poésie sans “méditation transcendentale du langage”. La poésie, disait-il, est la vie non fossilisée ou défossilisée du langage. » (Michel Camus)Ce recueil posthume comprend une trentaine de poèmes.
Editeur : José Corti (5 septembre 2002)
Collection : Ibériques
« Toute l’œuvre de Roberto Juarroz porte le même titre : Poésie Verticale, chaque tome étant simplement numéroté pour être distingué des autres. Titre unique suggérant abruptement la verticalité de la transcendance “bien entendu incodifiable”, précise-t-il dans un entretien. Aussi était-il un des rares poètes contemporains à défendre haut et fort une métapoésie par où passe l’infini “bien entendu sans nom”, une vision poétique proche de Novalis pour qui “la poésie est l’absolu réel”, mais témoignant aujourd’hui d’un nouveau sens du sacré “bien entendu sans théologie”. Pour Roberto Juarroz, il n’y a pas de haute poésie sans “méditation transcendentale du langage”. La poésie, disait-il, est la vie non fossilisée ou défossilisée du langage. » (Michel Camus)Ce recueil posthume comprend une trentaine de poèmes.
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