Orage / Tempestad
de Cristina Castello
de Cristina Castello
- Broché: 116 pages
- Editeur : Books on Demand (30 octobre 2009)
- Langue : Français
Orage
TempestadTexte du volet
Quand l’orage éclate, on a le choix entre chercher un abri ou se livrer à la nature les bras ouverts sous la pluie et face au vent.
Dans son nouveau recueil, Orage, Cristina Castello non seulement s’offre à l’orage de la vie, mais se livre — et ainsi nous délivre — en convoquant les éléments déchaînés, métaphores de notre monde et de nos sociétés en plein bouleversement.
Dans un mouvement dialectique qui aux méfaits d’Arès (le dieu de la guerre) oppose les charmes de sa femme Aphrodite (la déesse de l’amour), la poésie de Cristina Castello nous propose comme moyen de dépassement des contradictions de notre temps les voies de la création, placées sous le signe d’Orphée, qui avec sa lyre charmait même le chien Cerbère, gardien des Enfers.
Ce choix d’Orphée n’est pas le fruit du hasard. La poésie de Cristina Castello est une symbiose entre sens et musique, qui se fécondent pour atteindre au plus profond nos sens et notre raison. Comme Orphée — aède, mais aussi Argonaute — Cristina Castello ne joue pas de sa lyre enfermée dans un donjon qui l’isole du monde. Bien au contraire. Femme de combat, elle est plongée au cœur des luttes de notre époque. Femme d’amour elle met son talent au service des faibles, des opprimés, des victimes de tous les temps et surtout des victimes d’aujourd’hui, les damnés de la mondialisation libérale.
Pedro Vianna
Paris, mai 2007
source: http://www.bod.fr/index.php?id=1786&objk_id=262480
Dans son nouveau recueil, Orage, Cristina Castello non seulement s’offre à l’orage de la vie, mais se livre — et ainsi nous délivre — en convoquant les éléments déchaînés, métaphores de notre monde et de nos sociétés en plein bouleversement.
Dans un mouvement dialectique qui aux méfaits d’Arès (le dieu de la guerre) oppose les charmes de sa femme Aphrodite (la déesse de l’amour), la poésie de Cristina Castello nous propose comme moyen de dépassement des contradictions de notre temps les voies de la création, placées sous le signe d’Orphée, qui avec sa lyre charmait même le chien Cerbère, gardien des Enfers.
Ce choix d’Orphée n’est pas le fruit du hasard. La poésie de Cristina Castello est une symbiose entre sens et musique, qui se fécondent pour atteindre au plus profond nos sens et notre raison. Comme Orphée — aède, mais aussi Argonaute — Cristina Castello ne joue pas de sa lyre enfermée dans un donjon qui l’isole du monde. Bien au contraire. Femme de combat, elle est plongée au cœur des luttes de notre époque. Femme d’amour elle met son talent au service des faibles, des opprimés, des victimes de tous les temps et surtout des victimes d’aujourd’hui, les damnés de la mondialisation libérale.
Pedro Vianna
Paris, mai 2007
source: http://www.bod.fr/index.php?id=1786&objk_id=262480
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