Octaèdre
de Julio Cortazar (Auteur)
de Julio Cortazar (Auteur)
Broché: 131 pages
Editeur : Editions Gallimard (25 février 2003)
Collection : L'Imaginaire
Telles les faces d'un prisme qui captent et réfractent chaque rayon lumineux, les huit nouvelles de ce recueil s'emparent de la réalité quotidienne, la fractionnent en milliers de particules infimes pour lui donner une dimension inattendue : une rame de métro un soir d'hiver est un lieu chargé de mystère, un cheval blanc rôde autour d'une maison isolée où vit un couple désuni... Cortázar ne se contente pas de la surface des choses : il leur confère un volume qui conduit le lecteur dans cet espace inexploré où se situe la véritable relation entre les hommes. o Cortázar (1914-1984) a passé son enfance et son adolescence à Buenos Aires en Argentine. Ses premiers écrits sont dans la tradition de Borges, même si le fantastique y est plus inquiétant, comme dans Bestiaires (1951). Exilé pour des raisons politiques, il s'installe définitivement en France au début des années 1950. Enseignant, puis traducteur à l'Unesco, il ne cessera de prendre part au combat politique en signant notamment de nombreux articles sur le Salvador et le Nicaragua. Il a reçu en 1974 le Prix Médicis pour son roman Le livre de Manuel.
Editeur : Editions Gallimard (25 février 2003)
Collection : L'Imaginaire
Telles les faces d'un prisme qui captent et réfractent chaque rayon lumineux, les huit nouvelles de ce recueil s'emparent de la réalité quotidienne, la fractionnent en milliers de particules infimes pour lui donner une dimension inattendue : une rame de métro un soir d'hiver est un lieu chargé de mystère, un cheval blanc rôde autour d'une maison isolée où vit un couple désuni... Cortázar ne se contente pas de la surface des choses : il leur confère un volume qui conduit le lecteur dans cet espace inexploré où se situe la véritable relation entre les hommes. o Cortázar (1914-1984) a passé son enfance et son adolescence à Buenos Aires en Argentine. Ses premiers écrits sont dans la tradition de Borges, même si le fantastique y est plus inquiétant, comme dans Bestiaires (1951). Exilé pour des raisons politiques, il s'installe définitivement en France au début des années 1950. Enseignant, puis traducteur à l'Unesco, il ne cessera de prendre part au combat politique en signant notamment de nombreux articles sur le Salvador et le Nicaragua. Il a reçu en 1974 le Prix Médicis pour son roman Le livre de Manuel.
Derniers commentaires
→ plus de commentaires