[ARGENTINE] (1940 — ). Universitaire, elle a publié des études sur Roberto Arlt, Jorge Luis Borges, José Hernandez, Juan Carlos Onetti, des essais sur Adolfo Bioy Casares et Silvina Ocampo (ainsi que des livres d’entretiens avec eux), et des nouvelles (Ciudades [Villes], 1983 ; Cerco del deseo, 1994). « Ces villes de Noemí Ulla nous invitent à parcourir les différents chemins des sentiments humains : l’amour, la haine, l’orgueil ou la colère. Le langage, épousant les conflits et les situations du récit, révèle un écrivain, à la rhétorique et au style très personnels. Exigeante et sobre, la poésie parcourt Ciudades, souterraine, et tisse les frontières du récit. Une cadence particulière accompagne la voix intime et secrète de certaines de ces créatures, parfois violentes, parfois sereines et étranges, mais qui ne manquent jamais de désinvolture, d’humour ou d’une subtile ironie. » (Adolfo Bioy Casares).
[ARGENTINE] (1940 — ). Universitaire, elle a publié des études sur Roberto Arlt, Jorge Luis Borges, José Hernandez, Juan Carlos Onetti, des essais sur Adolfo Bioy Casares et Silvina Ocampo (ainsi que des livres d’entretiens avec eux), et des nouvelles (Ciudades [Villes], 1983 ; Cerco del deseo, 1994). « Ces villes de Noemí Ulla nous invitent à parcourir les différents chemins des sentiments humains : l’amour, la haine, l’orgueil ou la colère. Le langage, épousant les conflits et les situations du récit, révèle un écrivain, à la rhétorique et au style très personnels. Exigeante et sobre, la poésie parcourt Ciudades, souterraine, et tisse les frontières du récit. Une cadence particulière accompagne la voix intime et secrète de certaines de ces créatures, parfois violentes, parfois sereines et étranges, mais qui ne manquent jamais de désinvolture, d’humour ou d’une subtile ironie. » (Adolfo Bioy Casares). |
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