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Mercedes Roffé

Par larouge • Roffé Mercedes • Vendredi 27/04/2012 • 0 commentaires  • Lu 1229 fois • Version imprimable

 


L’esprit . . . Mais aussi la chair. Aussi l’âme. Et le cœur. La poésie, pour Mercedes Roffé, est tout cela. Elle est ce flot de conscience qui englobe l’être entier, l’histoire, la culture. Surtout, elle est un processus permanent de lecture du monde. À l’écoute de l’hétérogénéité qui définit ce vaste continent qu’est l’Amérique – cette Amérique faite de tant de mondes – . . . la poésie de Mercedes Roffé inscrit au cœur de sa démarche la rencontre de l’autre.   

 

Hélène Dorion

 

 

 

 

 

Née à Buenos Aires en 1954, Mercedes Roffé habite à New York depuis 1995.

 Son œuvre poétique comprend: Poemas (Madrid, 1978), El tapiz de Ferdinand Oziel (Buenos Aires, 1983), Cámara baja, 1987; Chili, 1996), La noche y las palabras (Buenos Aires, 1996; Chili, 1998), Definiciones Mayas (New York, 1999), Canto errante (Bs As, 2002), Memorial de agravios (Córdoba, 2002), La ópera fantasma (Bs As, 2005), et Las linternas flotantes (Bs As, 2009).

 

 

Dans traduction en français, Éditions du Noroît de Montréal a publié Définitions mayas et autres poèmes (2004), et Rapprochements de la bouche du roi (2009). Sa poésie a été traduite aussi à l'italien, au roumain et à l'anglais.

 

            Depuis 1999, elle dirige Ediciones Pen Press, une petite maison d’édition dédiée a la publication de poésie contemporaine. Parmi d'autres distinctions, elle a reçu une bourse de la Fondation John Simon Guggenheim (2001) et de la Fondation Civitella Ranieri (2012).

 

 

 
 

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