La Bête des diagonales
de Néstor Ponce (Auteur), François-Michel Durazzo (Traduction)
de Néstor Ponce (Auteur), François-Michel Durazzo (Traduction)
Broché: 325 pages
Editeur : Andre Dimanche (1 juillet 2006)
Collection : LITTERATURE FRA
La Plata, nouvelle ville devenue à la fin du XIXe siècle un des joyaux de l'Argentine avec son architecture moderne, ses parcs et ses diagonales, fait irruption un meurtrier aux habitudes étranges. La police manifeste son impuissance, le directeur de cabinet du ministre tente d'arracher à leur léthargie les fonctionnaires et d'éviter la crise politique. La presse multiplie les hypothèses, la population se barricade dès la tombée de la nuit et laisse la ville déserte, livrée aux grenouilles, aux chiens vagabonds, aux syndicalistes et aux journalistes qui entretiennent l'illusion d'arrêter le coupable. Pendant ce temps, les assassinats se répètent en un rituel sanglant et culminent en une fin imprévisible. Au-delà du roman policier, d'une enquête sur les traces d'un tueur en série, La Bête des diagonales jette un nouveau voile de suspicion sur la nature du pouvoir, dans la ligne de Roberto Arlt, Bioy Casares et Borges, ou celle de Ricardo Piglia pour qui " la littérature travaille le politique, cette grande machine paranoïaque et fictionnelle ".
Editeur : Andre Dimanche (1 juillet 2006)
Collection : LITTERATURE FRA
La Plata, nouvelle ville devenue à la fin du XIXe siècle un des joyaux de l'Argentine avec son architecture moderne, ses parcs et ses diagonales, fait irruption un meurtrier aux habitudes étranges. La police manifeste son impuissance, le directeur de cabinet du ministre tente d'arracher à leur léthargie les fonctionnaires et d'éviter la crise politique. La presse multiplie les hypothèses, la population se barricade dès la tombée de la nuit et laisse la ville déserte, livrée aux grenouilles, aux chiens vagabonds, aux syndicalistes et aux journalistes qui entretiennent l'illusion d'arrêter le coupable. Pendant ce temps, les assassinats se répètent en un rituel sanglant et culminent en une fin imprévisible. Au-delà du roman policier, d'une enquête sur les traces d'un tueur en série, La Bête des diagonales jette un nouveau voile de suspicion sur la nature du pouvoir, dans la ligne de Roberto Arlt, Bioy Casares et Borges, ou celle de Ricardo Piglia pour qui " la littérature travaille le politique, cette grande machine paranoïaque et fictionnelle ".
Derniers commentaires
→ plus de commentaires