Chères lectrices, chers lecteurs ; 
 
C'est avec grand plaisir que je vous présente mon nouveau       livre, Femmes de dictateurs, qui vient d'être publié       en Espagne Ediciones Península, dont la distribution       débutera le mois prochain en Amérique du sud, aux       Caraïbes et aux États-Unis, par l'intermédiaire       du groupe éditorial Norma. La trame du livre donne       naissance à six récits qui ont en commun, dans       la mesure du possible, tout en gardant à l'esprit l'objectif       d'utilité, l'idée que les femmes et les maris dictateurs       aient été vivants et  qu'il n'existe aucune       biographie sur ces femmes. Cependant deux exceptions ont été       permises : des quatre amours importantes de Fidel Castro       qui se sont distinguées, seule Celia Sánchez est       décédée, mais le personnage masculin correspondant       et les relations sentimentales exubérantes qu'on lui a       connu justifient, à juste titre, l'intérêt       porté à un des chefs d'État qui a marqué       le siècle achevé récemment et le début       de l'actuel. Le dictateur Ferdinand Marcos s'est éteint       en 1989, laissant une veuve Imelda Romuáldez. Leur couple       a abondamment nourri la littérature dont peu d'ouvrages       ont été traduits en espagnol. En général,       les publications remontent à plus d'une décennie,       avec peu de nouvelles contemporaines, une lacune que je me suis       employé à combler dans ce livre, décrivant       les conséquences des crimes blanchis, commis par une des       tyrannies les plus importantes et sanglantes qui ravagèrent       le continent asiatique. Augusto Pinochet, Alberto Fujimori, Jorge       Rafael Videla et Slobodan Milosevic, ont rempli, sans discuter,       les devoirs qu'ils avaient envers les femmes qui les ont suivis,       secondés, appuyés et même supportés       tandis qu'ils se rendaient responsables de l'empiètement       des droits de l'homme et de la délinquance financière       qui les caractérisait.
En guise d'introduction, ce livre définit un cadre théorique       afin d'ouvrir le débat sur la question de la dictature.       Par la suite, il aborde le sujet dans une sorte de préambule       fait d'esquisses préliminaires qui mettent l'accent sur       plusieurs femmes de dictateurs témoins de la première       moitié du siècle dernier, dont la sélection       s'est fondée sur les péripéties sentimentales       de quelques grands despotes comme Antonio de Oliveira Salazar,       José Stalin, Adolf Hitler et Francisco Franco. L'ordre       de leur présentation comme la situation postérieure       des femmes des six dictateurs choisis pour couvrir la seconde       moitié du XXème siècle, est arbitraire et       obéit seulement à des critères d'équilibre       lors de la pagination de ce livre, dont les passages les plus       marquants vous sont présentés, pour mon plus grand       plaisir, dans les pages qui suivent. En vous souhaitant une lecture       enrichissante, je vous envoie mes cordiales salutations. Juan       Gasparini. 
 
P.S Seule la page en espagnol de ce site présente les       extraits auxquels j'ai fait référence dans cette       lettre.
	
	
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