Entretiens avec Omar Prego
de Julio Cortázar (Auteur), Omar Prego (Auteur)
de Julio Cortázar (Auteur), Omar Prego (Auteur)
Poche: 248 pages
Editeur : Gallimard (11 avril 1986)
Collection : Folio
« Une pudeur extrême a toujours empêché Julio Cortázar de livrer à ses lecteurs des renseignements autobiographiques. Il n'a pas non plus, ou très partiellement, fait d'exégèse de son œuvre. Dans ces entretiens qu'il a eus avec son ami Omar Prego à partir de juillet 1982, jusqu'à quelques semaines avant sa mort, en janvier 1984, il est en revanche question et de son œuvre et de sa vie, les deux, soudain, se recoupant. Cortázar parle de son enfance, de la découverte de cette réalité magique que les mots ajoutent à la réalité ; de la musique, de Gesualdo à Charlie Parker et au tango ; des coïncidences, ces jeux du destin que l'on attribue à l'indulgent hasard ; de l'astrologie, de ses convictions politiques, de son militantisme, et, en détail, de sa littérature.Analyse approfondie de l'œuvre de Cortázar, ces entretiens offrent en même temps un autoportrait comme involontaire de l'auteur, l'un des grands narrateurs du siècle, dans la lignée d'Edgar Allan Poe et de Lewis Carroll. »
Hector Bianciotti.
Editeur : Gallimard (11 avril 1986)
Collection : Folio
« Une pudeur extrême a toujours empêché Julio Cortázar de livrer à ses lecteurs des renseignements autobiographiques. Il n'a pas non plus, ou très partiellement, fait d'exégèse de son œuvre. Dans ces entretiens qu'il a eus avec son ami Omar Prego à partir de juillet 1982, jusqu'à quelques semaines avant sa mort, en janvier 1984, il est en revanche question et de son œuvre et de sa vie, les deux, soudain, se recoupant. Cortázar parle de son enfance, de la découverte de cette réalité magique que les mots ajoutent à la réalité ; de la musique, de Gesualdo à Charlie Parker et au tango ; des coïncidences, ces jeux du destin que l'on attribue à l'indulgent hasard ; de l'astrologie, de ses convictions politiques, de son militantisme, et, en détail, de sa littérature.Analyse approfondie de l'œuvre de Cortázar, ces entretiens offrent en même temps un autoportrait comme involontaire de l'auteur, l'un des grands narrateurs du siècle, dans la lignée d'Edgar Allan Poe et de Lewis Carroll. »
Hector Bianciotti.
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