La littérature argentine porte le deuil de l'une de ses grandes auteures jeunesse, María Elena Walsh. L'écrivaine avait donné vie à des personnages populaires auprès des enfants, et des livres qui ont accompagné plusieurs générations.
Décédée à l'âge de 80 ans dans un hôpital de Buenos Aires, l'auteure y avait longuement séjourné, après une suite chronique de maladies. Depuis quelques années, elle avait d'ailleurs amplement réduit le nombre de ses apparitions en public, pour des raisons de santé.
Une belle carrière, avec une quarantaine de livres, mais également une vingtaine de chansons reprises par des chanteurs d'Amérique latine, comme Mercedes Sosa et Joan Manuel Serrat.
Son premier poème, María Elena Walsh l'avait publié à l'âge de 15 ans, et son premier ouvrage, Otoño Imperdonable, à 17 ans. Un exil à Paris, en 1952, avait interrompu sa carrière d'auteure, et permis l'enregistrement d'un premier album, Le Chant du Monde.
De retour en Argentine, elle enregistra quatre autres albums, très bien reçus par le jeune public. « Je pense que les gens font encore écouter mes chansons aux enfants, parce qu'ils les considèrent comme un trésor familial », expliquait-elle en 1997, alors que les artistes Joan Manuel Serrat et León Gieco, avaient enregistré un album en hommage à ses chansons.
Une bien triste nouvelle, alors que Buenos Aires a été élue pour 2011 capitale mondiale du livre. Un titre qui lui vaut d'être la ville invitée d'honneur par l'édition 2011 du Salon du livre de Paris.
Extrait de Juguemos en el mundo, sorti en 1971, de, réalisé par Maria Herminia Avellaneda.
Décédée à l'âge de 80 ans dans un hôpital de Buenos Aires, l'auteure y avait longuement séjourné, après une suite chronique de maladies. Depuis quelques années, elle avait d'ailleurs amplement réduit le nombre de ses apparitions en public, pour des raisons de santé.
Une belle carrière, avec une quarantaine de livres, mais également une vingtaine de chansons reprises par des chanteurs d'Amérique latine, comme Mercedes Sosa et Joan Manuel Serrat.
Son premier poème, María Elena Walsh l'avait publié à l'âge de 15 ans, et son premier ouvrage, Otoño Imperdonable, à 17 ans. Un exil à Paris, en 1952, avait interrompu sa carrière d'auteure, et permis l'enregistrement d'un premier album, Le Chant du Monde.
De retour en Argentine, elle enregistra quatre autres albums, très bien reçus par le jeune public. « Je pense que les gens font encore écouter mes chansons aux enfants, parce qu'ils les considèrent comme un trésor familial », expliquait-elle en 1997, alors que les artistes Joan Manuel Serrat et León Gieco, avaient enregistré un album en hommage à ses chansons.
Une bien triste nouvelle, alors que Buenos Aires a été élue pour 2011 capitale mondiale du livre. Un titre qui lui vaut d'être la ville invitée d'honneur par l'édition 2011 du Salon du livre de Paris.
Extrait de Juguemos en el mundo, sorti en 1971, de, réalisé par Maria Herminia Avellaneda.
toutes les chansons de maria elena wash: http://www.mariaelenawalsh.com/index.htm
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