Avant la fin
de Ernesto Sabato (Auteur)
de Ernesto Sabato (Auteur)
roché: 218 pages
Editeur : Seuil (9 février 2000)
Collection : Cadre Vert
Dans un faubourg de Buenos Aires, un vieil homme écoute Schumann et le chante des oiseaux.Il médite sur l'insurmontable douleur de perdre un enfant et sur al détresse de tous les enfants d'un monde que notre siècle a empli d'une horreur d'Apocalypse après y avoir fait naître tant d'espérance. Ernesto Sabato est un témoin majeur de cette histoire proche, où il a croisé Marie Curie, Thomas Mann, André Breton, " Che " Guevara, Cioran, Borges, Gombrowicz, et surtout Albert Camus dont la stature, à l'heure des bilans, domine le siècle.Scientisme, stalinisme, surréalisme, nazisme - avec résurgence argentine en 1976 -, péronisme, existentialisme, esthétisme : Sabato a traversé, non sans blessures, toutes ces aventures et abominations ave une rectitude morale et une lucidité hors pair. En témoignent, du Tunnel jusqu'à ces Mémoires, les livres d'un homme pour qui la littérature n'est ni une mode, ni un jeu, ni un négoce, mais un engagement vital et métaphysique.Un homme dont le pessimisme de combat n'empêche pas la foi en l'utopie.
Editeur : Seuil (9 février 2000)
Collection : Cadre Vert
Dans un faubourg de Buenos Aires, un vieil homme écoute Schumann et le chante des oiseaux.Il médite sur l'insurmontable douleur de perdre un enfant et sur al détresse de tous les enfants d'un monde que notre siècle a empli d'une horreur d'Apocalypse après y avoir fait naître tant d'espérance. Ernesto Sabato est un témoin majeur de cette histoire proche, où il a croisé Marie Curie, Thomas Mann, André Breton, " Che " Guevara, Cioran, Borges, Gombrowicz, et surtout Albert Camus dont la stature, à l'heure des bilans, domine le siècle.Scientisme, stalinisme, surréalisme, nazisme - avec résurgence argentine en 1976 -, péronisme, existentialisme, esthétisme : Sabato a traversé, non sans blessures, toutes ces aventures et abominations ave une rectitude morale et une lucidité hors pair. En témoignent, du Tunnel jusqu'à ces Mémoires, les livres d'un homme pour qui la littérature n'est ni une mode, ni un jeu, ni un négoce, mais un engagement vital et métaphysique.Un homme dont le pessimisme de combat n'empêche pas la foi en l'utopie.
Récit testamentaire et mémoires dans lesquels le grand écrivain argentin, dernier survivant de sa génération (Borges, Cortázar) s'adresse essentiellement aux jeunes sur le ton qui lui est propre: le "pessimisme de combat" (l'éditeur). Son objectif principal est d'aider le lecteur à "trouver une signification transcendante à ce monde rempli d'horreurs, de trahisons, de jalousies; de détresses, tortures et génocides" (p. 12) mais aussi de beauté et de générosité et des "très discrets signaux que la Divinité nous envoie" (p. 12).
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