Mots-clés : livres, cesar aira, argentine, j'étais une petite fille de sept ans
César Aira, La preuve et J'étais une petite fille de sept ans, éd. Christian Bourgois
Publié le 24 juillet 2009 par Slal Paris, février 2008César Aira est né à Coronel Pringles, dans la Province de Buenos Aires, le 23 Février 1949. Il réside à Buenos Aires depuis 1967, dans le quartier de Flores, cher à Roberto Arlt. Romancier, nouvelliste, essayiste, dramaturge, traducteur, il a publié à ce jour une quarantaine de livres.
Comme beaucoup d'intellectuels argentins, il est polyglotte et a lu en profondeur les romans d'aventure et les grands auteurs français. A 14 ans, il découvre Proust et vénère Rimbaud.
César Aira
envoyé par Alexandre de Nunez
Un après-midi d'hiver, trois jeunes filles (deux punks, Mao et Lénine, et une lycéenne, Marcia), parlent de désir et d'amour. Puisque l'amour n'existe que par ses preuves, elles finissent par se diriger vers le supermarché du coin, le Disco, où se jouera le dernier acte de la séduction…
Nouveau chapitre de la mythologie de Flores, ce quartier de Buenos Aires où César Aira vit en compagnie de ses personnages depuis quarante ans, La Preuve est le colloque sentimental de trois filles tourmentées, leur quête inexorable « de la beauté et du bonheur », dans une minuscule bulle de temps.
Ce roman est sans doute le plus violent de César Aira, et celui qui explore avec le plus d'acuité les élans de l'adolescence.
Le site Internet de Christian Bourgois éditeur
Un homme ordinaire, malmené par son épouse, fait un pacte avec le diable et fonde le royaume turc de Biscaye. Ses pouvoirs surnaturels ne suffisent pas à apaiser l'impatience de sa petite fille, ni à la préserver des dangers qui la menacent : roi et princesse devront entreprendre un voyage à travers la vieille Biscaye magique, jusqu'aux confins de leur « pays de conte de fées », en quête d'une âme volée.
« La source des histoires, qui alimentait ma curiosité insatiable, ne cessait jamais de jaillir. »
Ce roman récent est un des sommets de l'art poétique de César Aira, de son inimitable fantaisie : personnages et paysages en fusion défilent comme dans un rêve enfantin, ou sur l'écran encore phosphorescent d'un cinéma abandonné.
Traduit de l'espagnol (Argentine) par Michel Lafon.
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